Le système de classification et de collecte de données de la NCPPC a été utilisé pour identifier les médicaments et les substances qui ont été retirés ou interdits du marché canadien en 2007, 2008, 2009 et 2012. Les données ont été examinées pour les produits pharmaceutiques en vente libre, les médicaments sur ordonnance, les médicaments en vente libre et les médicaments sur ordonnance et pour les substances psychoactives.
Le nombre de médicaments et de substances psychoactives retirés du marché canadien et la quantité de médicaments retirés ont été utilisés pour calculer le nombre de médicaments retirés et la quantité de substances psychoactives retirées en 2007, 2008, 2009 et 2012. Le nombre de médicaments retirés et la quantité de substances psychoactives retirées ont été convertis en nombre de médicaments retirés et en nombre de substances psychoactives retirées en 2007, 2008, 2009 et 2012. Les données ont été converties en nombres de médicaments retirés et en quantités de médicaments retirés en 2007, 2008, 2009 et 2012. Les nombres de médicaments retirés et la quantité de substances psychoactives retirées ont été convertis en nombres de médicaments retirés et en quantités de médicaments retirés en 2007, 2008, 2009 et 2012.
Toutes les entreprises qui produisent des médicaments et des substances psychoactives ont été contactées afin de recevoir des renseignements sur les médicaments, les substances psychoactives et les substances qui ont été retirés du marché canadien ou qui en ont été interdits. Les informations recueillies comprenaient le nom, la catégorie de produits et le nom de la substance psychoactive du médicament, les quantités de médicaments, de substances psychoactives et de substances qui ont été retirés du marché canadien ou qui en ont été interdits, la date de retrait et la date de réintroduction, ainsi que les raisons du retrait ou de la réintroduction, y compris les raisons légitimes et non légitimes. Les données provenant des entreprises ont été analysées à l'aide de l'analyse statistique en fonction des facteurs de risque et de la méthode de l'analyse de régression de Poisson. Les statistiques descriptives ont été calculées pour chaque médicament et chaque substance psychoactive et les proportions de médicaments retirés et de substances psychoactives retirées et de médicaments et de substances psychoactives retirés ont été calculées et rapportées. La somme des moyennes des proportions a été utilisée comme dénominateur. Les résultats ont été exprimés en termes de moyenne et d'écart-type.
Les résultats indiquent que les médicaments qui ont été retirés du marché canadien en 2007, 2008, 2009 et 2012 sont en proportion plus élevée que ceux qui ont été retirés du marché canadien en 2007, 2008, 2009 et 2012. Les médicaments et les substances qui ont été retirés du marché canadien en 2007, 2008, 2009 et 2012 sont en proportion plus élevée que ceux qui ont été retirés du marché canadien en 2007, 2008, 2009 et 2012.
Pour les médicaments et les substances psychoactives qui ont été retirés du marché canadien en 2007, 2008, 2009 et 2012, les résultats de l'étude montrent que les consommateurs canadiens sont moins susceptibles d'avoir recours à des drogues illicites ou à d'autres substances psychoactives si elles sont prescrites par un médecin qualifié et formé. De plus, les résultats montrent que l'utilisation de drogues psychoactives ou non psychoactives a tendance à être plus élevée chez les consommateurs ayant fait des études postsecondaires et qui habitent des ménages à faible revenu ou chez les consommateurs ayant un niveau d'éducation inférieur. Les résultats montrent également que les consommateurs de drogues psychoactives qui ont des relations sexuelles avec des consommateurs de drogues illicites ou d'autres substances psychoactives sont beaucoup plus susceptibles de recourir à des drogues psychoactives que ceux qui n'ont pas de relations sexuelles avec des consommateurs de drogues illicites ou d'autres substances psychoactives.
Les résultats montrent que les consommateurs canadiens qui utilisent des médicaments psychoactifs ou non psychoactifs sont moins susceptibles d'avoir recours à des drogues illicites ou à d'autres substances psychoactives s'ils sont prescrits par un médecin qualifié et formé et s'ils ont des relations sexuelles avec des consommateurs de drogues illicites ou d'autres substances psychoactives. De plus, les résultats montrent que les consommateurs de drogues psychoactives qui ont des relations sexuelles avec des consommateurs de drogues illicites ou d'autres substances psychoactives sont beaucoup plus susceptibles d'avoir recours à des drogues psychoactives que ceux qui n'ont pas de relations sexuelles avec des consommateurs de drogues illicites ou d'autres substances psychoactives.
Les données recueillies par la NCPPC dans le cadre du Système de classification et de collecte de données de la NCPPC ont servi à classer les médicaments et les substances psychoactives retirés ou interdits du marché canadien en 2007, 2008, 2009 et 2012. Les données ont également servi à quantifier le nombre de médicaments retirés et le nombre de substances psychoactives retirées et le nombre de médicaments et de substances psychoactives retirés en 2007, 2008, 2009 et 2012.
Les médicaments retirés du marché canadien en 2007, 2008, 2009 et 2012 ont tendance à être en proportion plus élevée que ceux qui ont été retirés du marché canadien en 2007, 2008, 2009 et 2012. En revanche, l'utilisation de drogues psychoactives a tendance à être plus élevée chez les consommateurs ayant fait des études postsecondaires et qui habitent des ménages à faible revenu ou chez les consommateurs ayant un niveau d'éducation inférieur.
Les données de la NCPPC permettent de mesurer la proportion de consommateurs canadiens ayant recours à des drogues illicites ou à d'autres substances psychoactives si elles sont prescrites par un médecin qualifié et formé et s'ils ont des relations sexuelles avec des consommateurs de drogues illicites ou d'autres substances psychoactives.
Les résultats de l'étude indiquent que les consommateurs canadiens ont tendance à être moins susceptibles de recourir à des drogues illicites ou à d'autres substances psychoactives s'ils sont prescrits par un médecin qualifié et formé et s'ils ont des relations sexuelles avec des consommateurs de drogues illicites ou d'autres substances psychoactives. De plus, les consommateurs de drogues psychoactives qui ont des relations sexuelles avec des consommateurs de drogues illicites ou d'autres substances psychoactives sont beaucoup plus susceptibles d'avoir recours à des drogues psychoactives que ceux qui n'ont pas de relations sexuelles avec des consommateurs de drogues illicites ou d'autres substances psychoactives.
La méta-analyse des résultats de l'étude de la NCPPC pour les médicaments et les substances psychoactives retirés du marché canadien en 2007, 2008, 2009 et 2012 indique que les consommateurs canadiens ont tendance à être moins susceptibles d'avoir recours à des drogues illicites ou à d'autres substances psychoactives s'ils sont prescrits par un médecin qualifié et formé et s'ils ont des relations sexuelles avec des consommateurs de drogues illicites ou d'autres substances psychoactives.